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                                               Qui sont-ils et que vont-ils faire
                                                                      dans ce lieu où personne ne veut aller
                                                                      pour  rencontrer des individus
                                                                      que personne ne souhaite connaître?  

 
 

  

 
 
VISITES AU BOUT DU MONDE

Documentaire HD de 52 MN
ADR Productions et France Télévisions

 
Diffusion sur France 3 

Avant-Première au cinéma Gaumont
à Rouen le 6 Septembre

Nathalie et Yves sont visisteurs de prison.
Tous les quinze jours, ils passent la porte
du plus grand centre de détention d'Europe,
à Val de Reuil, en Normandie, pour aller  à la rencontre
d'individus que personne n'a envie de fréquenter.

Ils deviennent pendant quelques heures un écho du monde.

Mais qu'est-ce qui les motive ?

Pourquoi ont-ils fait ce choix de passer du temps
libre en prison et de donner la parole aux détenus ?
Est-ce la foi, la compassion ou simplement de l'altruisme ?

Le film rend compte de ce lien ténu qui se tisse entre les visiteurs
et les détenus et ce qu'ils éprouvent au fil du temps
dans cette relation singulière.

 



Extraits CRITIQUE PRESSE
 
fifil-f@x normandie
www.filfax.com
 n°4177 -
 
« Le réalisateur, Jean-Jacques Pellerin, y dépeint
avec une justesse de perception évidente
 les motivations de quatre visiteurs de prisons.
 Catherine, Yves, Nathalie ou Patrick passent tous les 15 jours
les portes du plus grand centre de détention en Europe 
qui regroupe près de 800 détenus condamnés
pour la plupart à de longues peines.

Les « personnes détenues » sont filmées avec discrétion,
de dos, sans voyeurisme. « Sans prédation d’images,
j’ai voulu montrer les liens qui se tissent et se nouent encore aujourd’hui
entre tous les protagonistes du film », explique le réalisateur.

Sans lenteurs ni longueurs, une indéniable sensation
de calme ressort de ce sensible documentaire. » … 

« Dans le flot incessant des images inutiles 
qui envahissent nos écrans,
Jean-Jacques Pellerin vient nous rappeler
 que la télévision, comme la vie,
peut encore avoir du sens.

Il suffit de voir ces visiteurs aux sourires joyeux,
confiants et authentiques, enlacer doucement
mais inlassablement leurs interlocuteurs
 en souffrance pour leur dire que
 « non, tout n’est pas foutu ». »
 
Patrick Streiff

 
  





ENTRE TERRE ET MER
 

Documentaire HD de 52 mn    
Production : l' Ancrage
Dans ce no man's land ancestral, des métiers doivent s'adapter
ou disparaître pour des raisons économiques. Des verriers, 
pêcheurs et ramasseurs de galets de la ville du Tréport
témoignent avec émotion des mutations profondes
qui ont affecté leur activité durant ces dernières  décennies.


voir un extrait : 
                  https://www.dailymotion.com/video/xaz6jn_didine_shortfilms             




                                                                
 
DEUXIEME PRISE

Documentaire   52 mn      DV CAM

Production : Amp Production et Cityzen tv
avec le soutien du CNC


  voir un extrait
 
 https://vimeo.com/2186807

Daniel Tinel, ingénieur, licencié à 50 ans
de son entreprise se met à errer sur
les quais du port du Havre et rencontre
des sdf vivant dans des containers.

Avec eux, il forme le projet de construire
un centre d'hébergement avec des matériaux de récupération.
Sept ans après ce premier tournage, 
je suis retourné sur les lieux...

Au-delà de cette aventure humaine
exceptionnelle, le documentaire "Deuxième prise"
pose la question du traitement social de l'exclusion
mais aussi d'une façon plus large de la nature
du travail social tel qu'il est mis en oeuvre dans la société.

 
  voir un extrait

 
 

 
 

 
MEMOIRES VIVES

Documentaire   52 mn      DV CAM  
Production : Parole aux Images Productions
avec le soutien du Fasild, de la Caf et du CG 27

Venus d'Afrique noire ou du Maghreb
dans les années 70 pour alimenter 
en main d'Oeuvre les grosses entreprises,
ils se sont retrouvés un jour habitant
la campagne française profonde,
totalement déracinés.

Questionnés par leurs enfants,
ils témoignent du racisme ordinaire,
de la discrimination mais aussi des liens
d'amitiés qu'ils ont réussi à tisser
avec la population.
 
 



 
 

 
 
 



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